Une journée incontournable : 12 juin journée internationale contre le travail des enfants, organisée par l’Organisation des Nations Unies.
Un petit entrefilet et hop on est tranquille jusqu’à l’année prochaine… Un rappel quand même sur les différentes définitions du travail des enfants (3 catégories) énoncées par l’OIT (Organisation Internationale du Travail) :
Travail conforme aux normes de l’OIT : la participation des enfants à l’activité économique peut être bénéfique à condition de ne pas nuire à leur santé, à leur développement ou à leurs études. Le travail qui ne nuit pas aux études (travail léger) est autorisé à partir de l’âge de 12 ans en vertu de la Convention 138 de l’Organisation internationale du Travail (OIT).
Travail non conforme aux normes de l’OIT : le travail est ici défini d’une manière plus étroite et s’applique aux enfants qui travaillent dans des conditions qui enfreignent les normes susvisées. En d’autres termes, il s’agit de tous les enfants de moins de 12 ans travaillant dans l’une quelconque des branches de l’économie, des enfants âgé de 12 à 14 se livrant à des activités préjudiciables pour leur santé et de tous les enfants se livrant aux pires formes de travail des enfants.
Les pires formes de travail des enfants : sont concernés les enfants réduits en esclavage, recrutés de force, assujettis à la prostitution, victimes de la traite, contraints de se livrer à des activités illicites et devant accomplir un travail dangereux.
Dans le monde 1 enfant sur 6 travaille, en Afrique 1 sur 3.